La journée de jeûne volontaire est toujours célébrée le vendredi précédant le deuxième dimanche de février, cette année le 10 février 2023. Depuis le deuxième dimanche de février est célébré le jour de la Journée nationale des Mains Unies (12 février 2023). )
Nous sommes tous invités à vivre cette expérience : nous tous, de tout âge, condition ou niveau social, région ou pays
d'appartenance. La journée est un moment pour prendre conscience de l'inégalité que nous vivons sur la planète. C'est un moment dont nous pouvons également profiter en tant que phraseQuand elle avait 6 ans, le Dogme de l'Immaculée Conception fut promulgué le 8 décembre 1854. Carmeta vécut intensément cet événement, avec toute la population. Une année mariale clé dans sa vie fut 1858. Le 11 février, la Vierge apparaît à Lourdes à Bernadette et apporte sur ses lèvres la confirmation du dogme défini. Cette année a eu lieu le pèlerinage familial à Montserrat et c'était aussi celui de sa Première Communion, un moment où elle a dit à Jésus qu'elle serait tout pour Lui, soulignant déjà sa vocation religieuse et
Proposition du jour
Manos Unidas nous invite à prendre conscience de la grande inégalité de vie entre ceux d'entre nous qui partagent le monde, malgré le fait que nous ayons tous la même peau, le même cœur battant et sommes l'image du même Dieu.
Nous disons tous que nous reconnaissons l'égale dignité de tous les êtres humains ; mais ce n'est vraiment pas comme ça : 800 millions de personnes voient cette dignité gravement bafouée en raison des conditions de vie déplorables dues à leur pauvreté.
Jésus nous enseigne : fais du bien à ton prochain en défendant toujours la vie. Nous devons prendre soin de notre propre vie et de celle de nos
similaire, un moyen concret peut être : nourrir les affamés, donner à boire aux assoiffés, visiter les malades, créer du travail, etc.
La solidarité C'est une exigence de notre dignité humaine partagée, et le devoir que chaque être humain, selon sa situation, soit responsable de tous les autres.
Par solidarité, chacun doit assumer les causes de l'autre en en faisant ses propres causes.
La responsabilité prendre soin les uns des autres a des implications à la fois entre nous et les communautés déprimées éloignées, et entre les communautés elles-mêmes. Cela revient à faire passer le « nous » avant une logique myope d'intérêt privé ; renoncer personnellement ou se sacrifier pour le bien collectif et mettre à la disposition des autres les ressources nécessaires pour améliorer les conditions de vie des communautés les plus défavorisées.
Il est temps de s'engager à construire un monde où personne n'est laissé pour compte et où la faim devient un triste souvenir du passé.